Couple : la technique pour « friendzoner » quelqu'un en douceur

Publié : 22 octobre 2018 à 15h00 par Aurélie Amcn

WIT FM
Crédit : Pixabay

Il n'est pas toujours facile de gérer ses nombreux prétendants. Encore plus quand l'un d'entre eux s'avère être un « ami » plus qu'un « potentiel petit-ami ». Voici quelques conseils pour le « friendzoner » en douceur et éviter de lui briser le c-ur.

Il n’est pas toujours facile de recaler un prétendant. La situation peut rapidement dégénérer et virer au cauchemar pour les deux personnes concernées. Vexé.e votre partenaire va alors couper définitivement les ponts ou votre « relation » ne sera plus jamais la même, à votre plus grand désespoir. Alors voici quelques astuces pour « friendzoner » cette personne attachante qui vous fait de l’œil depuis plusieurs semaines. 

Tout d’abord, soyez direct.e. Pas besoin de faire durer le suspense : il faut lui faire part de vos réelles intentions dès le départ, à savoir évoquer l’amitié qui vous unit. Le fameux « restons amis » fonctionne toujours très bien, même s’il crée un petit malaise. Le fait d’évoquer une « amitié exceptionnelle et précieuse » s’avère ainsi être subtile et efficace. Cependant, à bannir de toute urgence (et ce dans toutes les situations d’après nos amis de Cosmopolitan) : le « ce n’est pas toi, c’est moi ». 

Ensuite, soyez précis.e et clair.e dans les mots et le ton employés : ne pas chercher à faire de la poésie, vous risquerez de lui donner de faux espoirs ou encore de lui briser littéralement le cœur. Et ce n’est pas le but recherché. Enfin, il vous faudra apprendre à respecter la décision de votre « ami.e ». C’est-à-dire : si pour vous ce « friendzone » ne change rien, lui ou elle voudra prendre ses distances afin de digérer la nouvelle et peut-être effacer les sentiments ressentis à votre égard. Ne commencez donc pas à harceler de messages afin de prendre des nouvelles, comme si de rien n’était. Il ou elle reviendra vers vous (ou peut-être pas finalement). Mais ne forcez pas les choses et ne vous forcez pas non plus, d’ailleurs.