Gilets jaunes : Mathieu Kassovitz tacle Philippe Poutou, « Tu voulais quoi, une Mercedes neuve ? »
Publié : 11 décembre 2018 à 14h55 par Aurélie Amcn
Après l'allocution d'Emmanuel Macron en réponse aux Gilets Jaunes, Mathieu Kassovitz a taclé Philippe Poutou sur Twitter. Une discussion devenue virale, regardez !
On ne l’avait vraiment pas vu venir. Hier soir, juste avant l’allocution d’Emmanuel Macron en réponse aux Gilets Jaunes, Philippe Pouton et Mathieu Kassovitz ont eu un échange très tendu sur les réseaux sociaux. Tout commence lorsque l’ancien candidat à la présidentielle critique la prise de parole du président de la République, avant même que le direct ne débute. Un tweet auquel s’est empressé de répondre l’acteur : « Laisse-le parler avant ».
Laisse le parler avant
— mathieu Kassovitz (@kassovitz1) 10 décembre 2018
Ensuite, à la fin du discours d’Emmanuel Macron, Monsieur Poutou revient à la charge auprès de l’acteur de la série Le Bureau des Légendes : « Alors heureux Mathieu ? Maintenant Macron a parlé et on est bien avancés ». Et ce dernier s’agace aussitôt : « Oui, je suis très content (…). Et toi, tu n’as pas aimé le ton de sa voix ou la position de ses mains ? Tu voulais quoi, une Mercedes neuve et le SMIC à 2500 Philippe ? ».
L’acteur poursuit encore en conseillant à son interlocuteur de « créer votre parti politique et voir comment vous vous en sortez en utilisant les armes démocratiques. Je vous souhaite sincèrement bon courage ». Voilà qui est dit.
Oui je suis tres content d'avoir un président qui garde sa ligne et qui essaye des choses tout en écoutant et en reconnaissant ses erreurs. Et toi tu n'as pas aimé le ton de sa voix ou la position de ses mains ? Tu voulais quoi, une Mercedes neuve et le smic à 2500 Philippe ? https://t.co/zzeCINXE2e
— mathieu Kassovitz (@kassovitz1) 10 décembre 2018
Ben ouais. Ça va être difficile de justifier une révolution le week end prochain. Il vous reste de créer votre parti politique et voir comment vous vous en sortez en utilisant les armes démocratiques. Je vous souhaite sincèrement bon courage.
— mathieu Kassovitz (@kassovitz1) 10 décembre 2018